Articles de malumiereetmonsalut

Paedophilia within the Catholic Church: When the courage and tenacity of victims ends up bearing fruit

Par Le 03/04/2024

Editorial

Paedophilia in the Church, the time of reparations. Photo stock adobe.com

Formations sanitaires en Afrique : entre insalubrité et mauvaises prises en charges

Par Le 03/04/2024

Santé

Scellé d'une formation sanitaire dans la région du Littoral (Cameroon)

Le travail du berger et la responsabilité des brebis

Par Le 03/04/2024

Méditation

 

Troupeau de brebis avec un berger. Image source Pixabay

Preservation of common heritage: a necessary evil at the local level

Par Le 03/04/2024

Culture

Image extract from the national park of Lobeke (Cameroon) Image: tripadvisor.fr

Dans Health

Health facilities in Africa: between unsanitary conditions and poor care

Par Le 03/04/2024

Health

Sealed of a health facility in the Coastal region of Cameroon

The work of the shepherd and the responsibility of the sheep

Par Le 03/04/2024

Méditation

Flock of cheep with a shepherd. Image source Pixabay

Dans Dossiers

La question d’une autonomie alimentaire en riz et en blé au Cameroun et en Afrique.

Par Le 03/04/2024

Dossier

Cliché d'UcheMbanefo7 pris sur Old Abeokuta road à Lagos, Mars 2019. Sous licence CC

The question of food autonomy in rice and in wheat in Cameroon and Africa.

Par Le 03/04/2024

Dossier

Cliche of UcheMbanefo7 taken on Old Abeokuta road in Lagos, March 2019. Under CC licence

Impact des prévarications dans le quotidien des populations et la stabilité politico-économique d’un Etat.

Par Le 03/03/2024

Éditorial

Le mécontentement d’un peuple vis-à-vis de ses dirigeants ne part jamais d’ex nihilo. Il est toujours motivé au préalable par des actes déplorables et favorable au prolongement de la précarité dans laquelle une bonne partie de la population vie à cause d’une société gangrénée par une culture de l’impunité ayant favorisé l’éclosion d’une génération d’individus avide de pouvoir, de scoop et de visibilité au point d’outrepasser ou de ne même plus être en mesure de connaitre les limites de leur droit d’agir et prérogatives. Comment expliquer en effet que des documents administratifs se retrouvent sur la place publique via des réseaux sociaux, ou qu’un décret sensé être officiel, soit jugé officieux ou tout simplement fallacieux par une institution sensée elle-même être sérieuse dans ses actes si ce n’est la conséquence d’une accoutumance avec un laxisme ayant favorisé la privatisation d’un pouvoir sensé être au service du peuple ? Comment expliquer qu’une chèvre à l’insu ou sous l’égide de son berger se retrouve en train de brouter où elle veut, comme elle veut et quand elle veut au point d’imposer son autorité sur des terres qui ne l’appartiennent pas et au grand mépris des riverains ?

C’est toujours une goutte d’eau de trop qui devient une exagération. La recrudescence des infamies dans une société qui à normalisé l’écart peut justifier des mouvements de grèves qui eux-mêmes justifient un ras-le-bol pouvant se traduire également par des Coups-d ‘Etats armés dans le but de donner un souffle nouveau à un Etat affaibli par des pratiques scabreuse lui donnant une mauvaise image sur la scène nationale et internationale.

Nulle ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. Les institutions sont fragilisées par la passivité ou le laxisme de ceux qui les incarnent. La volonté des têtes de files est bafouée par des collaborateurs qui profitent du pouvoir qui leur est accordé non seulement pour fragiliser leur semblable mais aussi faire perdurer leur privilèges. Au lieu de se mettre au service du peuple, les actes de certaines têtes de file montrent à quel point le fait de satisfaire le souverain par des résultats électoraux obtenus en partie frauduleusement ou par tous les moyens sulfureux possible dans une ou plusieurs circonscriptions est un souci majeur par rapport à la satisfaction du peuple.  

Impact of prevarications in the daily lives of populations and the political-economic stability of a State.

Par Le 03/03/2024

Editorial

The discontent of a people with their leaders never starts from ex nihilo. It is always motivated in advance by deplorable acts and favourable to the prolongation of the precariousness in which a good part of the population lives because of a society corrupted by a culture of impunity having favoured the emergence of a generation of individuals hungry for power, scoop and visibility to the point of overstepping or no longer even being able to know the limits of their right to act and prerogatives. How can we explain that administrative documents are found in the public square via social networks, or that a decree supposed to be official, is judged unofficial or simply fallacious by an institution itself supposed to be serious in its actions if it is not the consequence of a laxity that has favoured a privatization of a power supposed to be at the service of the people? How to explain that a goat, without the knowledge or under the aegis of its shepherd, finds itself grazing where it wants, how it wants and when it wants to the point of imposing its authority on land that does not belong to it, and much to the disdain of residents?

It’s always a drop of water too many that becomes an exaggeration. The resurgence of infamies in a society which has normalized the gap can justify strike movements which themselves justify a fed-up which can also result in armed Coups with the aim of breathing new life to a State weakened by scabrous practices giving it a bad image on the national and international scene.