Éditorial
L’homosexualité : une réalité planétaire qui frappe aux portes des Territoires Africains
Dans Translations
Les réponses à la question de savoir comment vivre avec un autre qui pourrait compromettre notre originalité sont d’autant plus intéressantes qu’elles créent des dissensions entre ceux qui ne sont pas en faveur d’une cohabitation pour des raisons traditionnelles et ceux qui se prononcent en faveur d’un phénomène de contre-nature qui ne devrait pas constitué une raison suffisante pour entraver les libertés fondamentales d’un individu.
L’humanité draine depuis plusieurs siècles une réalité qui la caractérise et qui a toujours créer des tensions auxquelles elle se doit d’apporter des solutions adéquate en tenant compte du contexte culturelle, de la dignité de chaque individu et des droits que chaque Etat est prêt à accorder à certaines communautés.
L’Afrique n’est pas encore prête !
selon les informations recueillies par l’International Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Intersex Association en abrégé Ilga, une organisation qui milite pour le respect des droits humains pour tous, l'homosexualité serait légalisée sur 9% du Territoire africain, décriminalisée sur 42% du Territoire et pénalisée sur 49% du Territoire. Malgré le fait que plusieurs pays aient fait le choix de légaliser ou dépénaliser l’homosexualité, l’Afrique n’est pas encore prête à l’accepter. Pourquoi ? Parce que cette pratique va à l’encontre de ses traditions. Ce point de vue qui peut choquer des défenseurs de la cause LGBT ne doit pas être considérer comme une forme de radicalisme ou de discrimination mais comme une réaction qui traduit le souci d’un ensemble de peuple soucieux de préserver leur cultures de toutes tendance à vouloir encourager une vie de couple entre des personnes de même sexes. Les multiples incidents malheureux qui se sont produits en Afrique et au Cameroun en particulier où plusieurs personnes soupçonnées d’homosexualité ont été lynchées par des populations révoltés, traduisent le point de vue d’un peuple qui n’est pas encore prêt à accepter certaines pratiques publiquement ou non. Ces réactions qui ne sont pas louables, traduisent en fait une hostilité plus profonde à l’égard de ceux qui ont fait le choix de se cacher derrière l’Homosexualité pour pratiquer la pédérastie et la sodomie afin d’en tirer des profits maléfiques. Est-ce à dire qu’il faut légaliser l’homosexualité, c’est-à-dire, la tendance à préférer les relations amoureuses et sexuelles homme-homme pour les hommes, et femmes-femme pour les femmes, et pénaliser la pédérastie et la sodomie qui sont respectivement des actes criminelles qui consistent pour un adulte à abuser sexuellement d’un enfant pour en tirer un plaisir ou un profit d’une part, et amener une personne à ne plus être en mesure de faire des selles convenablement à cause d’une activité sexuelle disproportionner bien souvent contre une très forte récompense ? Pas du tout ! Il faut protéger la jeunesse de tout ce qui pourrait constituer une porte ouverte aux cercles pernicieux ou à l’adoption des choix dont les conséquences seront préjudiciables dans l’avenir de la personne.
Si personne ne choisit devenir homosexuel à sa naissance, le manque d’affectivité, l’influence du milieu et le choix d’expérimenté de nouvelles formes de sensations peuvent amenées un individu à devenir homosexuel, bisexuel ou développer en lui un genre à la foi féminin et masculin. L’Africain et le Camerounais en particulier ne peut se prononcé en faveur de l’homosexualité parce que c’est un choix qui irait à l’encontre des valeurs culturelles qui lui ont été transmises et qu’il doit maintenir intacte pour mieux retransmettre. Si en tant qu’être humain les homosexuels ont des droits, ils ont également le devoir de respecter les valeurs culturelles des pays où ils veulent que leur droit soit légiféré. Un problème planétaire n’est pas l’affaire d’un seul continent. C’est parce que l’Afrique se sent concerné qu’elle répond en grande partie aux sollicitations de la communauté LGBT sur la base de ce qui a toujours été, tout en respectant ce qui est accepté ailleurs. Les sociétés occidentales sont très avancées dans la compréhension et l'acceptation de ce que les sociétés africaines ne sont pas encore prêtes à accepter et à comprendre même si elles sont contre tout acte de violence ou acte discriminatoire à l'encontre de chaque homme et des homosexuels en particulier. L'Afrique respecte et continuera de faire tout son possible pour garantir et respecter la liberté de chaque individu tout en espérant que ceux qui ne sont pas fiers de la façon dont les homosexuels sont traités en Afrique respecteront également son choix de ne pas légaliser une tendance qui va à l'encontre de ses traditions. La liberté ne nous donne pas le droit de diffuser des propagandes qui ventent les mérites d’un phénomène de contre-nature partout; s’il faut respecter l’Homme en tant qu’être humain, ses actes peuvent également être considérés comme répréhensibles à l’intérieur des Territoires où ses choix ne cadrent pas avec les valeurs défendues par des Etats qui ne sont pas encore prêt à les légalisés.
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