Créer un site internet

Dérapages en milieu jeunes : conséquence d’une éducation sous l’influence d’éducateurs laxistes et des inconvénients de la mondialisation

malumiereetmonsalut Par Le 07/11/2022 à 10:35 0

Dans Dossiers

Dossier

Education de qualité et complémentarité des acteurs. Image d'llustration Pixabay

Même si les Nations Unies considèrent qu’un jeune est une personne âgée entre 14 et 24 ans, « il n’existe pas de véritable consensus universel sur la tranche d’âge à prendre en compte lorsqu’il s’agit des jeunes.1 » En effet, que l’on soit en Afrique ou dans les autres continent, la réponse à la question de savoir jusqu’à quand on n’est jeune varie et crée même de l’animosité chez certains. « La réponse est d’autant plus difficile que la jeunesse est l’objet d’une désirabilité sociale excessive2 » dans un monde perturbé où la vieillesse n’est pas toujours signe de sagesse.

Mais que l’on assume le fait d’être vieux ou non dans un monde où chaque individu est appelé à devenir une meilleure version de lui-même, le degré de maturité est ce qu’il y a de mieux. En effet, Chaque génération est toujours le fruit du travail d’une génération précédente plus expérimenté, d’une expertise plus aguerrie ou d’une éducation exemplaire et essentielle à l’ère du développement croissant des bienfaits de la modernisation qui ont leurs avantages et leurs inconvénients. Et puisqu’on n’est jamais assez mature pour connaitre tout, ni assez naïf pour tout accepter, « la jeunesse est une construction sociale faite en fonction des difficultés rencontrées3 » ; c’est une construction permanente qui ne s’achève pas avec l’apparition des premier(e)s rides ou des autres signes d’un âge avancé car si l’apparence physique donne à voir des signes de vieillesse, les expériences de vie permettent de faire la différence entre les véritables degrés de maturité et ceux qui ne coïncident pas toujours avec l’âge avancé ou qui se caractérisent par des tendances déroutantes dans un monde gangrené par des attitudes ayant façonnés des individus dont les comportements ou les actes sont non seulement contagieux mais aussi préjudiciables pour les générations présentes et à venir.

L’Homme comme cause de ses propres maux

L’Homme est le produit de l’environnement dans lequel il vie. La qualité de l’éducation que des jeunes-parents donneront à leur enfant constituera le socle d’un long processus d’apprentissage qui lui sera d’une très grande utilité tout au long de sa vie. Parvenus à la vie adulte ou non, il saura quoi faire pour ne pas déraper ou ce qu’il convient de faire honnêtement quand on n’a dérapé. Dans ce cas il n’y a pas trop d’inquiétude car une conduite juste est toujours le fruit d’un travail en aval initié par des éducateurs sérieux et soucieux de l’avenir de leurs enfants. En fait, en considérant que le stade de l’enfance se constitue de « la petite enfance, le milieu de l’enfance et l’adolescence4 », à ce stade, rien ne dépend de l’enfant mais des jeunes adultes qui l’environnent et qui ont des responsabilités envers lui. Il apprend auprès d’eux. S’ils ont des habitudes déplorables, il est susceptible de les copier et renvoyer à son tour une mauvaise image dans la société. Celui qui évolue dans le brigandage et dans l’indifférence totale de ses proches est lui-même prédisposé à être un brigand voire un criminel.  

L’éducation commence à bas âge pour continuer au cours du temps parce que ce n’est pas du jour au lendemain qu’on apprend à se connaitre soi-même. L’apprentissage commence à bas âge afin qu’a l’âge adulte ce processus puisse se perfectionner sur la base de ce qui a déjà été acquis. Quand on sait quel genre d’éducation on n’a reçu on ne peut pas se comporter n’importe comment. C’est quand on n’est pas conscient de la qualité ou de l’utilité de la qualité d’éducation qu’on a reçu qu’on peut se permettre d’agir de manière désinvolte. L’enfant évolue dans des environnements où rien ne dépend de lui au départ et où tout dépendra de lui quand il sera adulte et aura à faire preuve de plus responsabilité grâce à la qualité d’éducation qu’il a reçu.

Mais nous vivons dans un monde où au lieu que « le milieu porte les marques de l’intelligence de l’Homme5 », c’est plutôt Lui qui porte les marques d’un milieu pervertie par des Hommes dénoué de toutes intelligence à cause d’une obsession pour les choses pernicieuse au point de ne plus être en mesure de faire preuve de raison mais adopter et faire adopter plutôt des attitudes bon marché convenables pour des individus à l’affut des moindres possibilités et opportunités sans prendre le temps de se demander si la qualité du produit proposé n’est pas nocif pour la société.

Si nous pouvons être influencés négativement par notre société, nous pouvons nous-même être la raison de nos propres malheurs à cause de l’éducation que nous avons reçue au sein de notre cellule familiale ou des attitudes déplorables qui sont devenues des mauvaises habitudes à cause du laxisme des parents-éducateurs de toutes sorte et de tout milieu.

Lire aussi : Education des conscience et prévention des gestes agressifs, désespérés et impudiques dans les lieux d'apprentissages.

C’est au sein de la famille qu’on apprend à se connaitre à travers ou grâce à l’éducation exemplaire reçue des parents, la transmission des valeurs culturelles et même ancestrales qui varient certes d’une tribu à une autre mais qui sont toujours pleine de sagesse. Ne pas être conscient de cela constitue déjà un véritable problème. C’est au sein de la cellule familiale qu’on commence à apprendre ce qui est bien ou mauvais pour l’autre tout d’abord à partir des conseils des parents en particuliers, ensuite par ce que nous n’aimons pas nous-même, et enfin ce que nous aurons fourni comme efforts pour mieux connaitre notre semblable ou la société dans laquelle nous vivons. En effet, « Comment connaitre la manière de se soucier de soi, si l’on n’a pas d’abord la connaissance de soi-même ? L’ignorance de soi rend impossible que le [soit] constitue en tant que tel l’objet d’un souci quelconque.6 » On ne peut pas espérer un acte de bonté venant d’un individu sans foi ni loi ou d’un individu qui menace ses semblables sur des plateformes numérique. Agir de la sorte c’est se moquer des règles de conduite.  A ce stade on ne peut plus seulement parler d’ignorance mais du refus de faire du bien à l’autre en suivant les bonnes tendances. Si à l’âge adulte on sera tenu pour responsable des actes répréhensibles qui résulteront d’un tel choix, aux stades de l’adolescence et même de la petite et la moyenne enfance c’est-à-dire indépendamment des autres considérations entre 0 et 25 ans, ce sont malheureusement les parents qui sont les principaux responsable même s’il existe des prisons pour mineur.  On ne peut par exemple pas offrir un smart phone ou une tablette à un enfant sans règles de conduite. Au risque de ne pas lui laisser adopter les règles de conduite qu’ils voudra en s’inspirant de ce qu’il voit sur les réseaux sociaux et à la télévision, la prescription des règles d’utilisations est une nécessité.

La bonne perception des apparences trompeuses

L’Homme c’est la manière de penser avant les apparences. Parfois en se limitant au niveau des apparences on passe à coter de l’essentiel parce qu’influencé par un monde qui a des codes et pour qui le fait de s’habiller d’une certaine manière voudrait forcément dire qu’on est soit une personne légère, ou soit une personne appartenant à un cercle vicieux. La légèreté et la monstruosité ne se limitent pas au niveau des apparences. Elles sont d’abord psychique.

Nous vivons dans un monde ou les influences grandissent avec le temps. Tout est orchestré pour influencé l’Homme tant positivement que négativement. Le seul moyen de s’en sortir ou de ne pas se laissé corrompre au point de devenir décadent est de marcher avec la qualité d’éducation qu’on a eu à recevoir tout en faisant attention à ce qu’elle-même ne nous amène pas à développer hâtivement des mauvaises considérations sur autrui car l’Homme n’est pas premièrement ce qu’il porte ou ce qu’il fait. Il est d’abord ce qu’il dit et ce qu’il pense. Et même si l’action est gouvernée par la pensée, dans un monde perturbé et pour un but précis, l’action peut parfois être totalement en déphasage avec la pensée même si c'est par les actes de l’Homme qu’on juge l’Homme. En d’autres termes, il faut se méfier des apparences en prenant beaucoup de recul pour mieux comprendre et ne plus agir comme des idiots. 

En se limitant tout simplement à ce que l’autre fait, sans prendre en compte ce qu’il est à travers ce qu’il dit, ce qu’il pense et ce qu’on sait vraiment de lui, on aboutira certainement à de mauvais résultats. On ne peut par exemple pas aimer une activité comme le banditisme et penser en même temps qu’être un brigand n’est pas une bonne chose. A moins d’agir sous la contrainte, un voleur ne peut ne pas aimer son activité. L’Homme fait toujours ce qui est bon pour lui. Si ce que je fais est mauvais pour les autres il est forcément bon pour moi parce que j’y trouve mon compte. L’acte de voler est en harmonie avec l’idée, l’intention ou la pensée de celui qui le commet. Celui qui agresse ses semblables pour subtiliser leurs biens le fait parce que pour lui c’est une bonne chose que les autres n’aiment pas. Commettre un acte répréhensible et le regretter par après est une autre histoire.  

Pour ne pas perdre un enfant ou le laisser être façonner par un monde en crise de valeur, il faut faire tout son possible pour lui donner une bonne éducation à la base. Si par après (au cours de sa vie adulte) il fait le choix de devenir un brigand, il devra assumer ses actes puisqu’il a fait le choix de bazarder l’éducation de qualité qu’il a reçu. En assumant ses responsabilités à la base, le parent apprend à son enfant à agir de façon responsable dans un monde gangrener d’influences nocives. En étant laxiste, il court le risque de le perdre et d’être le principale responsable de la situation dans laquelle cet enfant ou ce jeune se retrouvera.

Document

Les responsabilités des parents envers leurs enfants. Image d'illustration pixabay

Education de base et Complémentarité des acteurs

Le parent installe les premières pierres qui sous-tendront l’éducation de son enfant. « La parentalité est une fonction très large qui inclus les responsabilités juridiques telles que la loi les définies, les responsabilités morales, tel que la socio-culture les impose et les responsabilités éducatives.7 »

Le parent est le premier enseignant. Il inculque à son enfant le moyen d’arriver à un meilleur résultat par la culture de l’effort et la sincérité dans l’effort. Il est la première personne sociable en ce sens qu’ayant une connaissance des nécessité d’une vie en société ou en communauté, il enseigne à ses enfants, comment selon lui, il est judicieux de se comporter en société. Il a une connaissance des codes. Il ne les connaît peut être pas tous certes, mais il a une expérience dans le choix ou un meilleur discernement des mauvaises tendances.

Les autres Co éducateurs arrivent après lui.  Les établissements scolaires ne font que continuer le travail qui a déjà été amorcé par le parent à qui ils sont censés  donner un compte rendu permanent. En plus du compte rendu de l’enseignant ou de l’administration, il y a aussi celui de l’enfant. En effet, si l’enseignant évalue les qualités l’enfant, l’enfant également, grâce à l’éducation que ses parents lui ont donné, doit être en mesure d’évaluer les qualités de l’enseignent et il revient au parent de faire le discernement pour ne pas se faire duper par l’un ou par l’autre. Ainsi, si l’enseignant est mauvais, c’est-à-dire, s’il est avéré qu’il éloigne les enfants de la norme morale, les parents doivent le savoir et trouver le moyen de recadrer tout ou d’éloigner leur enfant de ce type d’individu.

Dans un monde en pleine mutation on n’est jamais assez prudent. En effet, avec des enseignants pervers au même titre que des Hommes de Dieu pédophiles et des jeunes gens qui développent de plus en plus des attitudes insidieuses pouvant dérouté même leur parents, il ne faut rien négligé car avec l’explosion de l’influence nocives des réseaux sociaux, on est toujours en présence d’un couteux à double tranchant. En restant éveillés on ne risque pas de devenir une des victimes de la modernisation qui abrite sans le savoir peut être un cyber harceleur sous le masque d’un enfant adorable et exemplaire ou un conjoint qui est en fait un véritable prédateur sexuel.

A l’occasion de la première journée contre le harcèlement et les violences en milieu scolaire en 2020, les Nations Unies déclarait que partout dans le monde, les enfants sont victimes en milieu scolaire d’une cyber intimidation. Ces phénomènes s’accompagnent également des intimidations physique pouvant amener le sujet en question à se suicider d’où l’importance d’une valorisation de soi dans un monde qui en dépit d’avoir une surestimation de soi ne s’est pas apprécier l’autre à sa juste valeur et se trouve obligé de manifester son ignorance et parfois même sa jalousie sur des individus qui peuvent parfois en être affecté au point de vouloir se donner la mort ; d’où l’importance de la culture d’une positive attitude  dès le bas âge pour ne pas se laisser manipuler par des ignorants et des inconscients, et d’un sens de discernement affranchie d’un raisonnement erroné qui voudrait que les plus âgé ait toujours raison pour être en mesure de dénoncer des absurdités pour ne pas se laisser apprivoiser par des pervers car certains adultes en effet profitent de l’ignorance ou de la naïveté de certains enfants pour abuser d’eux sexuellement. Et la tendance ne se limite pas au niveau primaire mais également aux niveaux secondaires et universitaires. Ceux qui ont parfois le courage de se plaindre auprès de certains responsables butte parfois devant un mur de complicité qui est en fait une mesure de contrainte pour inciter les victimes à céder aux avances d’un collègue pervers. Des enseignants qui se transforment en bourreaux c’est le fruit d’une décadence sociale. C’est la conséquence d’un abus d’autorité exécrable ventilé par des adeptes de l’indécence et de la médiocrité ayant malheureusement eu le privilège de contribuer à l’éducation et la formation d’une jeunesse qui elle-même malheureusement peut également être le bourreau de certains enseignants donnant ainsi naissance à une double décadence8 dans une société décadente qui inspire beaucoup de scénarios Hollywoodiens, Bollywoodiens et Nollywoodiens qui eux-mêmes inspireront d’autres individus dépourvus de bon sens dans des sociétés dépravés ; d’où la nécessité de fixer des tranches d’âges pour certains films et ne surtout pas offrir des consoles de jeu et des smarts phones entre autres sans discours requis. De plus, « la tranche horaire doit devenir dans l’éducation des écrans l’équivalent de l’assiette dans l’éducation alimentaire. Les écrans peuvent être des formidables outils de divertissement, d’apprentissage et de socialisation. Mais pas à tout âge ni à tous moments.9» Laissé l’éducation de son enfant aux smartphones, tablettes et autres écrans de télévision sans accompagnement c’est courir le risque de le perdre.

Les bienfaits de la modernisation ont des inconvénients qui ne doivent pas être prisent à la légère tout comme la tendance à être favorable aux libertés individuelle sans mesures d’accompagnement. Un parent ne doit pas offrir une arme à feu à son enfant même si l’Etat dans lequel il vit autorise le port d’armes pour se défendre. Et même s’il faille apprendre à un enfant à utiliser une arme à feu il ne faut surtout pas lui en laisser la garde de peur que ce moyen de sécurité à utiliser dans les cas les plus extrême n’éveille en lui un esprit revanchard et une surestimation de soi qui l’amèneront à ôter la vie à tous ceux qui le verront d’un mauvais œil ou qui lui adresseront des paroles déplaisantes.  

Document

Conséquences de la traite des personnes dans le monde/ UNICEF/ Shehzad Noorani

La jeunesse face à la recrudescence des énormités dans un monde décadent

Il n’y a pas de faits nouveaux. Il n’y a que de nouvelles tendances des choses qui ont toujours existées. Le vice par exemple est vieux comme le monde. Pour s’en affranchir, Voltaire et plusieurs pères-éducateurs après lui proposent le travail. Une très bonne option qui doit toujours s’accompagner d’un ou plusieurs buts raisonnable. Travailler oui, mais pour quel but? C’est une question essentielle que chacun devrait se poser dans un monde perturbé où pour certains, tous les moyens sont bons pour réussir.

Lire aussi : La décadence sociale, une des conséquences du choix du succès par tous les moyens sulfureux possibles : quelles solutions ?

La décadence commence quand on fait le choix de s’écarter de la norme pour épouser des énormités. « Le travail libère de l’ennui, du vice et du besoin10» uniquement ceux qui sont encore en mesure de faire preuve de bon sens et non pas des individus sans foi ni loi. Le trafic des êtres humains11 est juteux mais il ne libère pas du vice. L’instrumentalisation d’une culture africaine pour se faire de l’argent au mépris de la vie d’autrui ne libère pas du vice. De même pour la consommation abusive des stupéfiants pour commettre des actes répréhensibles, le hacking, la cyber intimidation, le harcèlement sexuel, les féminicides, et les informations toxiques ou fakes news. Ce sont des activités qui ont toujours existé mais qui ont pris de nouvelles tournures au cours du temps en s’adaptant aux multiples évolutions technologiques. Toutes autant qu’elles soient, elles ne libèrent ni du vice, ni de l’ennui et ni du besoin car en effet, être libérer du vice c’est exercé une activité qui respecte la dignité humaine. On ne peut pas sortir de l’ennui quand on sème le chaos autour de soi et encore moins quand on souffre d’une forte addiction aux stupéfiants. Tant que le besoin est lié à un vécu déplorable il n’y a pas de satisfaction possible au vrai sens du terme ; c’est-à-dire, on ne peut pas parler de fruit d’un travail gagné honnêtement et grâce auquel on peut s’accorder sincèrement une existence paisible, quand les moyens employé pour prospérer sont répréhensibles et constituent même des entraves à la bonne gouvernance.  Autrement dit, si nous devons « cultiver notre jardin10 » comme le suggère Voltaire, nous devons le faire honnêtement, sincèrement, sans nuire à l’existence de nos semblables.

Les plus jeunes perpétuent sous de nouvelles formes les habitudes nauséabondes de ceux qui les ont précédés grâce aux multiples innovations technologiques. Le piratage informatique est devenu monnaie courante de même que la cyber intimidation. Le harcèlement sexuel en milieu scolaire et professionnelle de même que les féminicides sont commis par des jeunes qui ne font que retransmettre ce qu’ils ont fait le choix d’adopter comme model de vie.

La responsabilité a fait place à une irresponsabilité voilée par la victimisation et des apparences d’honnêteté et de sincérité qui ne sont en réalité que des attitudes de façades qui dissimulent de la lâcheté, de l’hypocrisie et de la perversité ; d’où la recrudescence des fakes news pour décrédibiliser l’autre ou montrer par des preuves falsifiées qu’il ou elle est décadent alors que nous faisons tous partie de ce même système qui a, et qui ne cesse de violer les normes pour légitimer des absurdités comme la violation des droits de l’Homme, le mépris de la vie d’autrui à travers des massacres, la poursuite effréné des intérêts égoïstes, et le sabotage des infrastructures d’utilité commune pour par après jouer les victimes .

Quels jeunes pour les générations à venir ? Une autre question essentielle dans un monde où les valeurs morales et d’étiques sont menacés par des énormités héritées des générations précédentes. Si dans un tel contexte il est nécessaire de capitaliser sur l’éducation, il faut qu’elle soit d’une qualité à remettre continuellement en question pour produire davantage d’acte en conformité avec les normes requises et ne pas se limiter uniquement aux niveau des clichés et préjugés pour juger les autres car il n’y a de mauvaises tendances que celles créées par les Hommes pour détruire l’Homme et le rendre esclave de ses propres créations.

A l’état brut il n’y a rien de mauvais. Après transformation le bien demeure mais il faut être en mesure de discerner le vrai du faux en prenant du recul c’est-à-dire en se donnant le temps de réfléchir afin de choisir non pas uniquement ce qui est bien, mais ce qu’il y a de mieux pour nous. 

La jeunesse est de plus en plus décadente en partie parce que plusieurs des générations qui l’on précédées ont démissionnées. Certains parents sont submergés le travail au point de profiter du peu de temps de repos qu’ils disposent pour se reposer tandis que leurs enfants meurent sous leurs yeux. D’autres sont plus soucieux de prendre soin de leur maitresses ou compagnons. De plus, la transmission de l’excellence par des activités sexuelles est une réalité de même que la transmission de la médiocrité qui équivaut à une note médiocre comme conséquence d’un refus de céder aux avances d’un éducateur véreux et pervers. A cela il faudrait ajouter des Hommes de Dieu qui se comportent comme des Hommes odieux, le vagabondage sexuel et toutes les autres énormités ayants érigées leur tente dans nos sociétés de plus en plus complexes. Mais au-delà de tout cela le bien demeure et il n’est jamais loin. Il se trouve toujours dans la qualité de personne que nous sommes et la qualité d’Hommes que nous voulons pour les générations à venir. Il ne faut donc pas se contenter de dire que le monde est mauvais et suivre n’importe quelles tendances. Il faut se dire que le monde est mauvais et embrasser les bonnes tendances c’est-à-dire, celles qui nous plaisent vraiment et que nous sommes prêt-à-assumer et non pas nous cacher derrière les voiles de l’hypocrisie et des intérêts disproportionné d’un monde décadent qui l’a en fait toujours été.

Français|Anglais

Références

[1] Paix, dignité et égalité sur une planète sainte

[2] Jeunesse d’aujourd’hui et organisation de la jeunesse de demain

[3] Catherine Tourrilhes, Construction sociale d’une jeunesse en difficulté, Agora débats/jeunesse, 2006, Numéro 40, pp 108-119

[4] How and when does childhood end?

[5] J. Favez-Boutonnier, l’homme et son milieu, Bulletin de psychologie, 1958, numero 11-146, pp497-500

[6] Martine Pécharman, connaissance de l’Homme et connaissance de soi selon Pascal, enseignement philosophique, 2008/3, pp 22-35

[7] Reconnaitre les parents comme premiers educateurs de leur enfants.

[8] AFRIQUE - Notes sexuellement transmissibles : Et si le bourreau était la victime ?

[9] Les balises 3-6-9-12, un guide des écrans en familles, pour apprendre à s’en servir et à s’en passer

[10] Voltaire, CANDIDE ou L’OPTIMISME, traduit de l’allemand de M. Le docteur RALPH

[11] La traite des êtres humains la 3ème activité illégale la plus lucrative au monde

 

__________________________________________________________________________________

Récommandation :

Les Fakes News au prisme des théories sur les rumeurs et la propagande

Ajouter un commentaire

Anti-spam