La recrudescence des mouvements d’humeur qui se traduisent par l’agressivité, le suicide et la perversité, sont des tristes réalités qui montrent à suffisance que l’enrayement de ces phénomènes de seconde nature qui semblent s’être imposé dans le cycle d’apprentissage des jeunes en particulier, est un des nouveaux défis de l’Education.
Mettre fin à ses jours à la suite d’une déception ou d’une expérience traumatisante est de plus en plus fréquent de même que les scènes immondes qui décrivent un monde où la consommation des stupéfiants à l’intérieur comme en dehors des établissements scolaire amène les Hommes à s’adonner à toutes formes de pratiques qui attristent l’Esprit-Saint de Dieu. Le présent article se range à la suite de plusieurs propositions de solution afin de remédier à ces problèmes par trois orientations qui s’inscrivent dans une dynamique d’accentuation des mesures préventives en vue d’enrayer ces calamités en milieu jeunes.
La faculté de contenir ses émotions
Il est important d’identifier et prévenir les comportements impulsifs des enfants. Et quel qu’en soit les raisons de ce problème, un enseignant ne doit jamais perdre de vue que la classe dans laquelle il se trouve est un espace d’apprentissage où tout peut arriver. Les élèves sont plus enclins à manifester des réactions incontrôlées en partie à cause de leur manque de maturité. En effet, une étude a montré que les conduites impulsives peuvent faire paraitre les enfants plus jeunes que leurs âges. Un enfant est plus susceptible d’agresser un de ses enseignants.
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L’enseignant qui est également un parent en plus d’être un éducateur doit toujours garder en mémoire que l’apprenant et l’étudiant sont tous des enfants sous son autorité qui méritent une attention particulière qui inclut le strict respect des libertés de chaque individu. Il revient donc à l’enseignant d’éviter certaines scènes, non pas par peur, mais dans le souci de prévenir des actes qui pourrait être dramatique pour lui ou pour ses sujets. Les règlements intérieurs doivent prévoir que quand un enfant profère des paroles inappropriées ou refuse de se soumettre à l’autorité d’un de ses enseignants en présence de ses camarades, il sorte de lui-même après que son enseignant lui ait ordonné de sortir. En cas de refus, il vaut mieux faire appel aux personnes compétentes pour user de la violence sauf si bien évidement l’enseignant se sent en mesure de gérer cette situation torride par lui-même.