L’un des moyens de préventions utilisés par les spécialistes de la santé pour aider les usagers à ne pas être la principale cause des maux qui les afflige, consiste à les dissuader de se ravitailler en médicaments dans des points de ventes non agrée. Es-ce pour privilégier un secteur en particulier ou tout simplement éveiller les consciences sur l’existence dans nos cités de produits contrefaits qui constituent un danger social ?
Considéré pour certains comme le meilleur moyen de recouvrer la santé non seulement du fait de leur proximité mais aussi de leur coûts abordables, les médicaments de la rue semblent être un bienfait de circonstance dont le substantif mérite d’être mieux appréhendé pour éviter les amalgames véhiculées par des rumeurs qui prêtent à confusion.
C’est quoi un médicament de la rue ?
Littéralement et même de manière basique, le médicament c’est ce qui permet de recouvrer la santé, et la rue, une voie de circulation. En associant les deux mots de façon à obtenir un groupe de mots bien évidemment en prenant en compte l’article la et la préposition de, nous nous rendons compte de deux choses : premièrement, il s’agit d’un ensemble de produits qui ne font pas ou plus partie du circuit réglementaire de fabrication et de commercialisation de médicaments. Deuxièmement, ce sont des produits qui appartiennent à la rue.
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Et puisque la rue comme objet matériel ou comme projet infrastructurel ne peut pas produire de médicament, nous concluons en disant qu’il s’agit certainement d’un ensemble de produits qui ont soit par un moyen frauduleux quitté le milieu conventionnelle pour se retrouvé dans un autre non conventionnelle, ou soit des médicaments qui sont produits frauduleusement dans des établissements non certifiés, puis acheminer et commercialisés frauduleusement dans les rues.