Ils sont redoutables et d’un nombre quasi inestimable. Même si les experts s’accordent à dire qu’il y en a une centaine en plus d’une multitude d’autres sous-catégories, il n’est pas aisé d’en donner une valeur exacte.
Considérés comme une des principales causes de mortalité dans le monde notamment en raison d’un décès sur six cas selon un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) datant de 2020, les cancers sont des tueurs silencieux qui n’épargnent aucune couche de la société.
Personne n’est à l’abri de ces vents dévastateurs à visages multiples qui ne cessent d’ébranler l’existence des Hommes. Selon des experts en santé nutritionnelles, ils seraient en partie dus aux mauvaises habitudes alimentaires. C’est l’une des raison pour lesquelles, il est recommandé de manger bio ; c’est-à-dire, naturel ; une préférence elle-même devenue douteuse avec l’usage abusif des pesticides dangereux pour la santé de l’Homme, la modification génétiques des organisme et autres produits prohibés et utilisés notamment pour hâter la maturation de certains produits maraîchers. Le meilleur moyen d’être sûr de manger bio serait de cultiver soi-même ses aliments, ou avoir son petit potager à domicile.
Tout est contrefait. Des produits des premières nécessité ou de grande consommations accessibles à moindres coûts, jusqu’aux plus couteux qu’une certaine catégorie seulement de la population peut se procurer à une période précise ou non ; le plus souvent, le consommateur se rend compte de la dangerosité d’un produit uniquement quand il est déjà malade, ou quand les effets nocifs d’une substance cancérigènes qu’il a ingéré en consommant un aliment dénaturé, sont déjà perceptibles sur son corps. A cause de son ignorance, le consommateur peut devenir une des malheureuses victimes des réseaux mafieux de la contrefaçon ; une activité illégale qui favorise la corruption, et la prolifération des produits meurtriers.
Une autre cause du développement des cancers serait la négligence de certains signes précurseurs. Il serait plus facile de traiter un mal à un stade primaire plutôt qu’à un autre plus avancé. Cette raison justifie les mouvements de sensibilisation visant notamment à informer l’opinion sur les gestes à faire ou les conduites à tenir au quotidien, les habitudes à éviter ou à bannir, et les activités à pratiquer de façon permanente en guise de prévention.
Une étude rétrospective mener de 2012 à 2013 sur une population marocaine à révéler que les raisons de l’élévation du taux de morbidité des cancers en Afrique particulièrement, serait dans 40% des cas dû à un diagnostic tardif, qui lui-même serait la conséquence d’un manque de moyens financier pour se faire consulter ; dans 23% des cas à l’éloignement des formations sanitaires ; les habitudes socio-culturelles avec les traitements traditionnelles en première intention correspondrait à 20% des cas, et l’insuffisance des traitements thérapeutiques à 7% des cas (source : National Library of Medicine). Mais de tous ces facteurs qui ne favorisent pas une prise en charge adéquate à savoir les facteurs : ignorance, argent, éloignement, et socio-culturel, le facteur argent est le plus problématique car, on a besoin d’argent pour informer, sensibiliser et faire sortir les Hommes de l’ignorance. On en a besoin pour ériger des centres spécialisés à proximité, faire des consultations et procédé à des traitements gratuits ou à moindre coût en Afrique particulièrement car, les traitements sont longs et très onéreux. Ceux qui n’ont pas, ou pas assez de moyens, se retrouvent parfois abandonnés à leur propre sort. Et même si le fait de disposer des ressources financières nécessaire ne garantit pas toujours une guérison, cela n’enlève rien à la nécessité d’une couverture santé universelle ou alors, une couverture santé médical afin que le fait de contracter ou de souffrir d’un cancer ou de toute autre maladie graves sur la base du taux de morbidité et la cherté des traitements, ne soit pas, ou plus jamais considérés comme un synonyme de mort, ou d’une condamnation à mort.
Chaque individu doit avoir le droit de bénéficier des soins de santé de qualité quel que soit le mal dont il souffre ou la condition dans laquelle il se retrouve. Si c’est ce que les populations sont en droit d’attendre ou d’exiger de leur gouvernements, elles ont aussi le devoir de dénoncer les produits douteux, contrôler leur alimentation, privilégié une alimentation de qualité autant que possible, refuser d’adopter des options préventives qui divisent les experts, prendre soin de leur corps en pratiquant une activité physique saine, et ne pas se laisser abattre quel que soit les circonstances car, ce n’est pas des cancers qu’il faut avoir peur, mais de l’emprise que nous leur laissons avoir sur nous à travers nos réactions et nos actes qui sont parfois encore plus dangereux.
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