Créer un site internet

Utilisation des préservatifs et diminution du taux de prévalence et de transmissibilité des maladies et infections sexuellement transmissibles.

malumiereetmonsalut Par Le 03/02/2024 à 00:00 0

Dans Translations

Éditorial

 

La faculté de l’Homme à apporter des solutions pratiques aux multiples problèmes de l’existence est le fruit d’une ingéniosité qui l’a toujours permit d’établir les bases d’une suite d’expérimentations  futures réactualisées afin de répondre plus favorablement aux nouveau défis de la science dans une société de consommation très exigeante en ce qui concerne particulièrement, la satisfaction de ses appétits charnels.

Sur la base des résultats des recherches scientifiques convaincantes, l’humanité a été informé sur l’existence des maladies et infections sexuellement transmissible qui ne cessent de faire l’objet des recherches supplémentaires afin de mieux guérir pour celles qui sont curables, et mieux prévenir pour celles qui ont un taux de prévalences très élevé par la promotion des méthodes contraceptives adéquates.

Au XVIème siècle de notre ère, des préservatifs fabriqués en lin et réutilisables servaient déjà pour se protégé contre une infection qui proviendrait des Amériques (Amérique du Nord, Sud et Centrale) et qui aurait transité vers l’Europe à cause des explorateurs ; d’abord en Italie, puis en France et dans les autres pays du continent européen, pendant et après la guerre d’Italie (1494 – 1559). Une infection sexuellement transmissible appelée syphilis, dont la bactérie responsable à savoir le Treponema pallidum, a été identifiée pour les premières fois respectivement en 1905 et en 1910 de façon plus précise.   

Le préservatif réutilisable du 16ème siècle et fabriqué en lin, fit place au 19ème siècle, au condom ou préservatif en caoutchouc. Une matière première dont l’amélioration constante de la souplesse ne cesse de favoriser la fabrication des préservatifs innovants.

Le 21ème siècle est celui de tous les genres (hommes et femmes), et de toutes les couleurs. Il y en a qui demeurent en surbrillance pendant la nuit ; certains sont parfumés, et d’autres sont même électroniques. L’ingéniosité de l’Homme n’a pas encore fini de nous surprendre.

La vulgarisation de cette méthode contraceptive à toujours obéi à une volonté politique de limiter les naissances non désirées, réduire le taux de prévalence des maladies et infections sexuellement transmissibles, et inciter implicitement les Hommes et la jeunesse en particulier à une débauche-responsable. Une stratégie politique qui contraste certes avec les points de vu religieux, mais qui a réussi tout de même à s’imposer sur la scène international comme un moyen efficace pour juguler le taux de prévalence des maladies et infections sexuellement transmissible au sein d’une population jeune de plus en plus active sexuellement et précocement. Un marché qui fait les affaires de l’industrie du sexe et justifie notamment la fabrication des préservatifs de plus en plus attrayants, des campagnes publicitaires d’incitation à la débauche, des campagnes de sensibilisation contre les MST et IST pendant les vacances afin d’inciter sournoisement à la fornication tout en étant responsable.

Le préservatif dicte sa loi et ne cesse de s’imposer dans le monde et en Afrique comme un moyen indispensable non pas pour empêcher aux jeunes de s’amuser, mais de se protéger car, c’est quand on tombe de moins en moins malade que l’Etat économise de l’argent. Le préservatif masculin notamment est le deuxième moyen de contraception le plus utilisé dans le monde après la stérilisation féminine, et avant le stérilet et la pilule (source : Nation Unies, Contraceptive Use by Method 2020). Il (le préservatif féminin ou masculin) est devenu incontournable dans la prévention des MST et IST qui sévissent particulièrement en milieu jeune.  Son efficacité est optimiser par une promotion constante, une disponibilité à proximité, à prix abordable, et même gratuitement l’or des campagnes de sensibilisation en Afrique notamment contre le VIH/SIDA, des distributeurs électronique de préservatifs en occident, ou encore sa gratuité pour les jeunes âgés entre 18 ans et 25 ans dans les établissements pharmaceutique.

Le préservatif est le prétexte le mieux adapté pour justifier le droit à une activité sexuelle à la fois disproportionner et responsable. 856 préservatifs seraient fabriqués et vendus dans le monde à chaque seconde (planetoscope.com).  L’ingéniosité des fabricants joue sur la psychologie d’un consommateur qui aime mettre en pratique des nouvelles créations ventées notamment par des pages publicitaires incitatives et déroutantes parfois. Cette production et cette vente croissante est une menace pour le choix de l’abstinence qui ne bénéficie pas des mêmes faveurs médiatiques. D’où l’urgence des efforts supplémentaires de la part des parents, de la société civile et autres éducateurs, afin de mettre plus en avant une option que les gouvernants respecteront toujours mais qu’ils ne considèreront jamais comme une meilleure solution mais une méthode efficace parmi tant d’autres pour limiter le taux de prévalence des MST et IST en Afrique et dans le monde.

Français|Anglais

__________________________________________________________________________________

Recommandation :

le condom, de l’Antiquité aux années sida

Ajouter un commentaire

Anti-spam