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Éffectivité de la possibilité du salut de l’humanité par l’entremise de chaque Homme.

malumiereetmonsalut Par Le 28/11/2022 à 12:51 0

Dans Éditoriaux

Éditorial

En société, l’apport de l’autre est toujours d’une très grande importance. Image illustrative Pixabay

Les modes d’expression utilisés tout comme les éléments de langage empruntés pour réussir à faire passer un message ou traduire de manière concrète nos pensées ou nos projets sont des incontournables du quotidien. Quelle soit verbale ou non, audio ou visuelle, la communication comme un moyen d’exprimer librement nos choix soit pour défendre notre image, cacher nos secrets, éviter ou non de diffuser ou publier certaines informations, produit toujours des effets tant positifs que négatifs dans une société où l’apport de l’autre sera toujours d’une très haute importance.

Quel que soit ce que l’Homme fait, le métier qu’il exerce, ou le projet qu’il entreprend, il répond et il sera toujours appelé à contribuer à apporter des solutions à un ou plusieurs problèmes. L’autre est donc celui sans qui on ne peut rien faire. Les saintes écritures et certaines autres voix s’inscrivant dans la même logique attirent respectivement notre attention sur le fait que « nous ne sommes que de la main-d’œuvre » et que « personne n’est indispensable mais tout le monde est nécessaire » parce que nécessité et utilité sont des concepts abstraits qui auront toujours besoin des actions de personnes autre que Nous ou non, pour davantage se traduire de manière concrète et utile pour la société.  

Pour être utile il faut être en mesure de résoudre au moins un problème et pour y arriver il faut se munir du juste nécessaire. Dans tout ou presque les domaines d’activité on contribue à la résolution des problèmes. On s’arme des moyens nécessaire pour pouvoir atteindre des objectifs au point de devenir indispensable non pas parce que d’autres ne peuvent pas faire ce que nous faisons mais parce qu’à l’instant présent, quel que soit l’endroit où nous sommes ou l’établissement au sein duquel nous travaillons, nous sommes utile. Les autres ont besoin de nous pour atteindre un objectif commun. Tant que nous sommes là et que nous travaillons ensemble ou plutôt du fait que chacun profite de la disponibilité, de l’expertise ou de l’expérience de l’autre, nous sommes utiles. S’il arrive qu’un jour nous ne soyons plus, ou que nous soyons ailleurs, l’utilité sera remplit par une autre expertise peut être même meilleure que nous. 

Si on forme donc des qualifications ou plutôt si on fournit à la société ce dont elle a besoin, c’est parce que le monde a besoin surtout du talent de tout un chacun pour résoudre des problèmes et notamment aider certaines personnes à sortir des situations difficiles dans lesquelles elles se trouvent. En effet, tandis que certains sont dans une joie parfois voilée, d’autres vivent des moments difficiles qu’ils n’arrivent même pas à communiquer peut-être parce qu’ils ou elles ont peur ou parce qu’ils ou elles ont perdue tout espoir. C’est dans ces cas précis que l’autre est nécessaire. Non pas un donneur de leçon ou un individu qui ne prend pas le soin de faire les efforts nécessaires lui permettant de ne pas regarder les autres avec condescendance ou de banaliser la situation que ces personnes traversent, mais un autre que nous qui a vraiment à cœur d’aider les autres non pas pour mettre en avant sa propre personne, mais parce qu’il est non seulement un citoyen du monde mais surtout un serviteur inutile dont l’utilité des actes contribue à donner un brin de lumière à un monde où les activités ténébreuses obscurcissent parfois le quotidien de l’Homme de plusieurs manières parfois insoupçonnées.

Nécessité et utilité sont des concepts abstraits qui auront toujours besoin des actions de l’Homme pour davantage se traduire de manière concrète et utile en société. Image illustrative pixabay

De la nécessité de se mettre au service des autres en poursuivant des causes justes

L’autre a besoin de son semblable pour sortir des situations épouvantable tout comme il a besoin de lui pour donner une nouvelle orientation à sa vie. C’est dire que l’autre n’est pas toujours quel qu’un de bien. Il est tantôt ceci, tantôt cela. Parfois le bourreau et d’autres fois la victime. Si d’une part il fait le bien, d’autres parts il fait le mal. S’il peut contribuer à me changer dans le bon sens du terme, il peut également être celui qui contribue à ma destruction. Mais qu’il soit bon ou mauvais, l’autre est celui sans qui je ne peux me réaliser.

Les enfants de Dieu en général et les chrétiens en particulier ont pour habitude de dire qu’ils ne sont rien sans Dieu et qu’ils ne sont rien sans Jésus s’appuyant entre autres notamment sur l’Evangile de Jean et les paroles de l’Apôtre Saint Pierre aux actes des apôtres qui disent respectivement : « sans moi vous ne pouvez rien faire » et qu’il vaut mieux « mettre sa confiance en Dieu plutôt qu’aux hommes. » Pourquoi ? Parce que les Hommes peuvent s’avérer être des experts en mensonges et en hypocrisie.

Mettre sa confiance en Dieu c’est se disposé à œuvrer en faveur du bien afin de contribuer gratuitement à donner du bonheur aux autres dans un monde en perte de valeur où les actes odieux peuvent venir de partout contrairement aux actes de bonté ou sincèrement bon qui ne peuvent provenir que des cœurs ayant vraiment à cœur de faire le bien.

La grâce et la disgrâce cohabitent au quotidien dans un monde où tout est possible et où il ne faut surtout pas se priver d’une part de dénoncer et condamner ce qui est mauvais et d’autres part contribuer au changement des mentalités sans toutefois cherché à détruire l’autre mais à mettre un terme à ce qu’il fait de mauvais et qui est nocif pour tous ceux et celles qui vivent dans le même milieu que Lui. En fait, combattre les Hommes est une activité vaine. Ce sont leurs mauvaises actions qu’il vaut mieux combattre parce que ce sont elles qui détruisent l’Homme. Combattre les actes malsains de l’Homme c’est par exemple l’obliger à assumer la responsabilité de ses actes et non pas prendre le prétexte de l’ignorance ou de la mauvaise influence des forces obscures pour justifier des actes barbares et criminogènes qui ne sont que les conséquences palpables de l’ADN ou des informations génétiques de certains individus ayant fait le libre choix de devenir des individus malveillant.   

En fonction de son poste de responsabilité, chaque Homme doit prendre ses responsabilités. Il doit contribuer au bonheur des autres à travers ce qu’il fait pour ne pas permettre aux injustices de prospérer et empêcher la vérité de triompher. En d’autres termes, l’individu V qui exerce une activité W doit contribuer à résoudre un problème Y causé par un individu Z sans toutefois forcément s’attaquer personnellement à Z mais à ses actes Y qu’il se doit d’assumer.  

Dénoncer le mal que les autres font ou vouloir faire révéler la vérité sans s’attaquer à un individu en particulier mais à ses actes c’est se contenter de faire uniquement ce qu’on a à faire et laisser les autres faire ce qui entre dans leur compétences. chacun doit se contenter de bien faire ce qu’il a à faire sur la base des faits et laisser les autres faire leur part  sur la base de ces même faits. Outrepasser ses prérogatives c’est laisser libre cours à ses passions dans une situation où il y a un domaine de définition très bien définie.

Dénoncer les absurdités sur la base des faits c’est contribuer à la libération des victimes et même une société gangrener par des contre-valeurs. Le salut est divin parce qu’il vient de Dieu et s’exprime à travers les activités ou les actes bienveillants de chaque Homme. « A l’Homme donc [comme l’a dit le philosophe Eric Delassus dans L’ENSEIGNEMENT PHILOSOPHIQUE], rien de plus utile que l’homme (…) les hommes qui cherchent ce qui leur est utile sous la conduite de la raison, n’aspirent pour eux-mêmes à rien qu’ils ne désirent pour les autres hommes. »

Pour que Dieu agisse il faut que l’Homme agisse. Les Hommes sont les membres actifs et visibles du corps invisible et actif de Dieu sur terre. Il faut donc bien faire ce qu’on a à faire pour notre propre bien et celui des autres afin qu’à travers Nous celui que Nous avons librement choisi de servir à travers les autres soit glorifier tout en prenant soin de ne pas perdre notre temps sur des absurdités; en d’autres termes, travailler également sur notre propre personne afin que cette grâce qui vient d’en haut nous aide à être fidèle à nous-même c’est-à-dire qu’elle nous aide à continuer à bien faire ce que nous avons à faire tout en évitant de compromettre notre personne et prêcher à chaque fois par l’exemplarité quand c’est le cas. Autrement dit, parce que je sais ce qui n’est pas fait et ce qui devrait être fait, j’agis sur la base de la grâce que Dieu m’a donné tout en veillant à ne pas mener une vie en contradiction avec mes actes. Et s’il arrive que je fasse ce qui ne dois être fait et qui nuit gravement au bien-être d’autrui, la moindre des choses à faire c’est de reconnaitre sa faute et prendre sincèrement ses responsabilités.

En assumant ses responsabilités l’Homme invite ses semblables à assumer les leurs. Celui qui dénonce et condamne recherche la vérité et la justice qui sont autant importantes pour lui que pour les autres.  En effet, quand les autres souffrent à cause des méfaits de leurs semblables c’est tout une société, un pays, et un continent qui souffre. Pour sortir de cette impasse il faut que chacun fasse bien ce qu’il a à faire à son niveau avec force en faisant attention à ne pas chercher à détruire l’Homme mais plutôt ses actes. En s’attaquant aux actes on s’attaque aux causes et on a la possibilité de limiter les dégâts, d’éviter des récidives, d’éradiquer le problème et sauver l’Homme qui n’est pas uniquement l’autre mais qui peut également être ce que ses actes ont fait des Hommes que nous sommes.  

Celui qui évite de faire le mal se soigne lui-même. Celui qui se laisse corrompre et commets des actes répréhensibles se condamne lui-même et pour le libérer lui et la société dans laquelle il vit il faut dénoncer ses actes et les condamner. Mais en s’attaquant aux mauvais actes des autres il faut le faire avec professionnalisme, humilité et force. Professionnalisme parce que toute activité sérieuse à des règles à respectées. Humilité parce que nous ne nous comportons pas toujours comme il faut et force enfin parce qu’il ne faut pas se laisser intimider quand on combat pour la vérité parce qu’il y en a qui quand on s’attaque à la mauvaise qualité de leurs actes, ils le prennent pour des attaques personnelles même quand les moyens adoptés pour atteindre cet objectif respectent les règles. Tout se passe comme s’il faut encourager les Hommes à cacher ce qu’il ne faut pas alors que nous avons des devoirs envers la société que nous avons fait le choix de servir. D’ailleurs, contrairement à la naïveté et la stupidité, l’humilité ne signifie pas laisser les autres faire de nous des complices de leur méfaits.

Celui qui dénonce et condamne recherche la vérité et la justice qui sont autant importantes pour lui que pour les autres. Image illustrative pixabay

L’Homme face à la dure réalité d’un monde perturbé par des énormités

L’une des révélations ayant le plus ébranlée le monde et l’Eglise Catholique en particulier ces dix dernières années sont les actes de pédophilie commis par des clercs au cours de leurs ministères. Ce sont des actes qui doivent être dénoncer et condamner tout en prenant soin de chercher à connaitre les messages au-dessus du message que Dieu veut nous faire savoir à travers ces abominations. Il faut voir, écouter et continuer son chemin en prenant des résolutions fermes pour l’avenir sur la base de ce qu’on a eu à voir ou à entendre qui est en fait une interpellation.

Lire aussi : Pédophilie au sein de l'Eglise Catholique : Quand le courage et la ténacité des victimes finissent par porter des fruits  

La tendance à s’éterniser sur les abominations commises par des Hommes de Dieu est une perte de temps pour ceux qui ne prennent pas ces faits comme une occasion de remettre en question la relation qu’ils entretiennent avec Dieu. Il ne faut pas se contenter de dire que les autres sont mauvais et que nous sommes bons. Il faut se dire que même comme nous ne sommes pas toujours bons cela ne nous donne pas le droit de cautionner des abominations que parfois certains veulent nous amener à cacher ou à ne pas publier pour faire de nous des bourreaux ou des complices d’actes malsains qui ternissent davantage l’image de l’Homme en société.

La responsabilité de faire ce qui est bien, y demeurer fidèle ou y retourner quand on se rend compte de s’en être écarté n’est pas seulement l’affaire d’une catégorie de personnes. Notre appartenance à Dieu et au Christ en particulier ne doit pas être conditionnée par le fait qu’un Homme de Dieu soit debout. Le fait qu’il puisse également tombé doit nous amener par son intermédiaire, à n’avoir pour principal model que Dieu ou le Christ en particulier. S’il faut abandonner les Hommes il ne faut surtout pas abandonner Dieu. S’il faut renouer des relations avec les Hommes il faut le faire au nom de Dieu et pour Dieu dans une société où les interactions seront toujours nécessaire et où nous auront toujours besoins de fondations solide pour ne pas être détruit par les scandales occasionnés par nos semblables.

Chaque Homme est un dieu qui doit se demander ce que Dieu attend de lui à travers chaque évènement. Au-delà d’être des faits de société, les scandales sont des moyens d’expressions que Dieu utilise pour transmettre un enseignement bénéfique non seulement pour le bourreau mais aussi pour ses victimes. Avant d’instruire ou informé les autres, il faudrait d’abord se renseigné et s’enseigner soi-même non seulement pour donner la bonne information, mais aussi pour contribuer à mettre en lumière les points obscurs d’un service en demie teinte qui en fait n’en est même pas un parce qu’entrelacer dans des énormités écœurantes. L’apôtre Saint Paul dit au deuxième chapitre de sa lettre aux romains : « Mais si tu prêches à ton prochain, tu devrais te prêcher toi-même. Tu dis de ne pas voler et toi tu voles ? » Quoi qu’il en soit, si tout le monde est appelé à dénoncer ce qu’il y a de mauvais et à appeler au changement, cet appel est également valable pour Nous. A chaque fois que des personnes ont détruit il y en a toujours eu d’autres pour tout reconstruire. Ceux qui ont arrêté de fréquenter les lieux de cultes sous le légitime prétexte que ceux qui sont sensés montrer le bon exemple ne le font pas ou n’ont pas eu à le faire dans le passé doivent revenir.

Dieu a besoin de chaque Homme pour changer la face du monde. Si le sel perd son mordant, avec quoi le salera-t-on si ce n’est par l’engagement des enfants de Dieu. Nous ne devons pas abandonner Dieu quand il a besoin de Nous. En effet, quand des fillettes, des filles et des femmes se font violées et tuées il a besoin de Nous; quand des Hommes violent la loi il a besoin de Nous. Quand des Hommes se cachent derrière des soutanes pour commettre des abominations il a besoin de Nous. Quand la corruption gangrène nos sociétés il a besoin de Nous; quand des innocents se font assassiner il a besoin de Nous. Quand des sépultures sont profanés il a besoin de Nous, quand des employés se font exploiter il a besoin de Nous; quand les activités des usurpateurs d’identités prolifèrent il a besoin de Nous; quand les Hommes cherchent à humilier leur semblables il a besoin de Nous; quand ils regardent les autres avec condescendance il a besoin de nous; quand des faibles se font dépossédés de leur biens par des puissants il a besoin de Nous; quand les Hommes souffrent de la famine à cause de la guerre il a besoin de Nous.

Dieu a besoin des Hommes et les Hommes doivent répondre favorablement à cet appel à travers tout ce qu’ils font. Personne ne doit considérer qu’il est inutile. Tout le monde a son importance et un rôle à jouer pour contribuer à son propre bonheur et celui des autres. Dieu a besoin des Hommes pour sauver les Hommes. Comme l’a dit quelqu’un : « Il nous a créé sans nous mais il ne peut pas nous sauver sans nous.» Il veut nous associer à notre propre salut quotidien parce que nous avons des responsabilités à remplir. Si vous croyez en celui qui est le chemin qui mène à la vie, vous devez également être des passerelles pour les autres à travers tout ce que vous faites et pour cela il faut proclamer l’évangile ou votre foi par la qualité de votre vie. Il faut faire preuve de bon sens en se mettant au service des autres à travers ce qu’on fait car il ne s’agit pas uniquement de gagner de l’argent ou de publier des informations; il s’agit de soulager des peines, de combattre les injustices, de faire triompher la vérité, de combattre les actes malsains pour libérer nos sociétés corrompus par des énormités grandissantes adoptées par des Hommes ayant fait le choix de faire du mal à leur semblables. Il s’agit d’un ensemble de possibilité salvatrices à promouvoir au quotidien pour davantage briser les secrets malsains qui très loin de résoudre les problèmes les aggravent davantage et contribuent à tuer des victimes peu à peu de plusieurs manières insoutenables qui nécessitent vivement que les paroles soient davantage libérées et que les Hommes profitent pleinement de la joie et du bonheur réservé par Dieu à tous les Hommes par les Hommes et dans un monde de plus en plus humanisés où les apports sincères et bienveillant de chacun seront toujours d’une très grande utilité.

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